La Médiathèque
La Médiathèque est un lieu de ressources musicales offrant à tous les publics son fonds de livres, disques, films documentaires, partitions, revues…
La Médiathèque au cœur de la cité phocéenne répond aux besoins d’un public de professionnels ou d’amateurs.
La MÉDIATHÈQUE de la Cité de la Musique vous propose un fonds multimédia composé de près de 10 000 documents en prêt ou en consultation sur place : livres, disques, revues, films documentaires, partitions...
Les domaines privilégiés proposés par la Médiathèque reflètent :
- La programmation de la Cité : Musiques anciennes, Musique des XXe et XXIe, Musiques traditionnelles, Jazz…
- Les disciplines liées à la musique et à son enseignement : analyse, théorie, esthétique, psychologie, sociologie, philosophie…
- Les instruments et disciplines enseignés à la Cité de la Musique de Marseille.
Horaires d'ouverture
La médiathèque est ouverte au public les lundis, mardis et vendredis hors vacances scolaires
Lundi : 14h - 17h
Mardi : 10h - 18h
Mercredi : 14h - 17h
Vendredi : 10h - 12h
4, rue Bernard du Bois 13001 Marseille | 04 91 39 28 20
Tarifs
La Médiathèque de la Cité de la Musique est ouverte à tous, en accès libre et gratuit.
Prêt de documents : Pour emprunter des documents de la médiathèque, il est nécessaire d’être titulaire d’une Carte Pass' à Musique (réservée aux élèves de la Cité de la Musique) ou d’une Carte Pass’ Spectateur (en vente à l’accueil de la cité de la Musique et de la Magalone).
Nos coups de cœur tout en jaune !
Cet ouvrage entend rendre compte d'un monde musical composite et pluriel en pleine effervescence : celui des musiques traditionnelles. De nombreux chanteur·euse·s et musicien·ne·s en France aujourd'hui s'emparent des codes et des langages issus des musiques populaires de tradition orale, qu'elles soient régionales ou migrantes, pour créer leur propre univers artistique et dire le monde d'aujourd'hui.
Livre d'artiste publié à l'origine en 1964, Grapefruit est devenu célèbre notamment car l'ouvrage est considéré comme l'un des premiers exemples d'art conceptuel, contenant une série de "event score" ou partitions performatives qui remplacent l'œuvre d'art physique, avec des instructions que l'on peut ou non souhaiter mettre en œuvre.
